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Helja Vespaïnen • Une mère à l'héritage corrompu

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Helja Vespaïnen
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Helja Vespaïnen
   
Helja Vespaïnen • Une mère à l'héritage corrompu 6JJ6PQb
Âge : 35 ans
Nature :
  • Mortel.le

Rôle : Skald, épouse du Jarl du clos Varda
Allégeance :
  • Jötnar

Disponibilité RP :
  • Disponible

RPs : À ouvrir —

À venir —

En cours —
La fin du deuil, Dagmar, Liv, Angrboda


Tolérance RP :
  • Tout type de +18

TW abordés :
  • Violences morales (psycho/discrimination/etc)


Présence :
  • Actif

Points : 342
Messages : 175
Faceclaim : Jenna Coleman
Crédits : av. soeurdelune, sign. siren charms
Multicomptes : Inleif, Skoldr & Herkja
Helja Vespaïnen
bondi

identité

Âge : 35 ans
Rôle : Skald, elle chante pour la cour et lors des événements organisés à la citadelle
Allégeance : jötunn

Famille : Helja n'est pas seule à Everlasting. Sa jumelle s'y trouve également. Même si elles ont pris deux chemins opposés, elles restent proches sur de nombreux plans. Elle ignore qui est son père, mais conserve des souvenirs de sa mère dont elle porte le matronyme. Elle est l'épouse du jarl Afnarsson à qui elle a donné trois fils jötnar, Afnar, 9 ans, puis Sköll et Hati, 4 ans.


Personnalité

Caractère : rêveuse, naïve, créative, sensible, empathique, optimiste, opportuniste, peureuse, attentionnée, avenante, réfléchie

Avis sur les jötnar : elle considère leur devoir la vie. Ils sont loin d'être parfaits, mais qui peut prétendre l'être ?
Avis sur les völur : fascinée par ces créatures, elle les admire avec une curiosité trop prononcée pour être acceptable !
Avis sur les einherjar : des trouble-fête assoiffés de sang et de pouvoir, elle n'en tient que peu en estime et se méfie des autres.
Avis sur les bœndr : une certaine solidarité l'étreint, et en même temps la ramène à l'insignifiance de son passage à Everlasting.
Particularité

Sa voix est son bien le plus précieux. Nul besoin de le marchander, on se l'arrache avec avidité. De quoi lui donner une place de choix parmi les grands de ce monde. Une place qu'elle aime plus que tout.


Histoire
(TW : relation malsaine, perte d'enfant)

Sans racines, sommes-nous encore nous-même ?

Une question que je n'ai pas voulue me poser. Dès lors que ma sœur et moi avions été amenées à Everlasting, je n'ai jamais posé de questions sur notre vie d'avant.
Enlevée au monde des mortels à nos cinq ans, qu'avions-nous réellement perdu ? Les seuls souvenirs qui persistent sont un visage, celui de notre mère et une odeur. Celle d'un doux automne ensoleillé.

L'élément qui a changé le cours de notre vie m'échappe totalement, mais ça ne m'a jamais empêchée de vivre... La citadelle est si belle, peuplée de créatures d'autant plus rayonnantes !
Je les jalouse plus ou moins secrètement. J'ai toujours voulu faire partie de leur communauté. M'associer à leur entourage. Usant de bienveillance et de gentillesse, j'ai pourtant été éconduite un bon nombre de fois. Les enfants de notre âge en riaient effrontément sous mon nez : tu n'es qu'une humaine, aussi éphémère que le bruit d'un claquement de doigts, pourquoi on s'intéresserait à toi ?

Raillées par nos camarades, j'ai été profondément blessée. Pour autant, je ne quittais pas le sourire qui ornait mes lèvres. Pour autant, je continuais à me parer des plus beaux atours que l'on pouvait m'accorder pour assister aux réjouissances organisées. Ma jumelle se moquait de mes allures de fausse princesse. Même si avec le temps, elle a compris l'importance que cela avait à mes yeux, elle ne m'a jamais soutenue dans cette lancée... À ses yeux, ILS ne nous méritaient pas. Je n'ai pas ses prétentions et son arrogance. Une humilité bien trop ancrée dans ma nature de simple mortelle.

Nous vivions au clos Varda dans une belle maisonnée. Notre gardienne, Ranveig, a joué le rôle de mère pour nous toutes ces années. On ne manquait de rien, n'avions pas à nous poser beaucoup de question sur ce qui se passait dans le monde. L'innocence de notre enfance préservée, nous avons été élevées de la même façon que les autres.
C'est là que le bât blesse.
Car nous n'avions pas les mêmes prédispositions...
On nous a souvent pointées du doigt, mais j'ai le souvenir que ma sœur paraissait invincible face à ces railleries et attaques. Même quand celles-ci étaient physiques. Elle osait répliquer, quoi que cela lui coûte.
Le plus souvent, cela attirait les foudres de notre bienfaitrice, rien de plus. Les conséquences sont des excuses et le ravalement du peu de fierté qu'il nous restait. Si on s'y pliait, je sais que ma jumelle tenait chacune de ces fois où elle a dû s'excuser d'être humaine en travers de la gorge.

La rancœur de notre enfance et de notre adolescence m'est rapidement passée. Parce que ça ne devait pas nous définir, et dans un monde où les immortels règnent, il parait bien dérisoire de s'attarder sur dix pauvres années. Même si, à notre échelle, c'était immense.

Avec tous mes efforts pour m'intégrer et me distinguer, j'attirais les compliments de Ranveig, ce qui n'était pas sans gonfler mon orgueil. Les compliments fonctionnent sur moi, je n'y peux rien si j'y suis sensible, c'est comme ça. Surtout quand cela vient d'une personne que je tiens en estime.
Je me suis perfectionnée dans l'art, et plus particulièrement celui de la poésie et du chant. Bien que je n'ai passé que mes cinq premières années dans le monde des mortels, on me prête des influences de mes origines. Je me contente de prendre cela comme un compliment et poursuis mon chemin.

Nous avions dix-sept ans quand le Jarl a commencé à s'intéresser à Ranveig. On l'avait déjà vu à plusieurs reprises, faisant l'honneur de visites au fil du temps. Ranveig se contentait de nous présenter, toutes deux postées droites comme des piquets, sans le droit de bouger ni de prononcer le moindre mot. Ma sœur le suivait toujours du regard, faisant taper Ranveig du talon pour qu'elle se ressaisisse. Cela durait quelques minutes avant que nous soyons congédiées.
Cette fois-ci, c'était différent. Une fois avec ma sœur, puis une fois avec moi, seuls à seuls dans les jardins, il a discuté avec chacune de nous. Séparément.
Moi qui ai toujours compté sur ma jumelle et l'ai toujours suivie comme l'extension de son ombre, j'étais déboussolée de me retrouver dans cette posture sans sa protection. Mais c'est un jötunn important, alors pour Ranveig, je me suis efforcée de garder bonne figure.
On a parlé de choses et d'autres, comme des présentations entre deux personnes. Ce que j'aimais, ce qui m'attirait à Everlasting, ce que je voulais faire de ma vie, quel était mon sens de la famille et si je souhaitais en fonder une un jour... Plein de questions sur moi, parfois très personnelles.
Il m'invitait à en poser sur lui, mais je n'osais pas le faire. Mes pommettes devenaient roses de honte et je déviais la conversation sur un sujet léger, général. Malgré les apparences, j'ai bien aimé cette discussion. Et l'adolescente naïve que j'étais à l'époque ne réfléchissait pas à ce qui était réellement en train de se passer.

Même si le but de cette rencontre m'échappait, je ressentais un trouble qui me poussait à ne pas parler de ce qui s'était passé. Ma sœur, elle, en parlait sans retenue, le racontait comme elle raconterait une blague de mauvais goût, n'hésitant pas à dénigrer le jarl. Ranveig frappa du poing sur la table et échangea un regard entendu avec ma jumelle. Je ne relevai pas plus que cela, c'était une habitude pour Ranveig et ma sœur de se confronter de la sorte.

Le fait est que, plusieurs mois après cette étrange rencontre, je reçus diverses invitations pour les événements mondains qui avaient lieu à la citadelle. J'étais aux anges ! Un rêve se réalisait : j'avais la sensation de gagner une place à la cour des Surtsson ! Bercée de mes illusions, je prenais soin de choisir les meilleures robes et, il faut admettre, tentais d'être la plus au goût du jarl possible. Un jeu de charme qui dura plusieurs années.
Quoique pouvait m'en dire ma sœur, je m'attachais au jarl. Je ne prétends pas que l'affection était réciproque, mais je me souviens de la première fois qu'il m'a embrassée comme si c'était hier...

Portés par la passion et la flamme qui nous échauffait l'esprit autant que le corps, la conception d'Afnar arriva très rapidement. Une nouvelle qui était censée sceller notre amour.
Mais du jour où il apprit ma condition, le jarl me tint à distance sans la moindre explication. Je n'étais qu'une petite humaine, peut-être qu'une aventure. Alors de ma position, il m'était impossible de réclamer des comptes au jötunn...
Je n'étais plus sa cavalière, plus son invitée. Ranveig insistait pour que je me ménage et reste le plus possible à la maison. Quasiment prisonnière, je me dérobai à la surveillance de la demeure pour tenter de rejoindre le jarl.
Sur le chemin, je fis la mauvaise rencontre de Nerscylla. Cette jötunn usa de ses dons pour me ramener dans un endroit couper du reste. Je me souviens de quelques éclats de conscience, où je n'ai de souvenir que la faim, le froid, la pierre...
Seule l'avancée de ma grossesse fut guide de la période que j'ai passé dans cet endroit. C'est après cinq longs mois que je sortis de cet état flou et vaseux... Ma sœur fut le visage qui parvint à me sauver de cette situation. Si elle n'avait pas été là, sans doute aurais-je finis par ne plus être de ce monde. Je sais que je lui dois la vie, et celle de mon fils, Afnar.
À mon retour dans la citadelle, je n'eus aucune nouvelles de la part du jarl. Pourtant, j'avais besoin de lui ! J'ai cru un temps que ma sœur avait raison : il se sert de moi comme d'une vulgaire poulinière. Parce que les humaines, on est beaucoup plus fécondes que les autres.
Le cauchemar prit fin à la naissance du bébé. Je n'en voulais plus, j'étais dégoûtée et blessée au plus profond de mes entrailles. Mais au verdict de la nature du nouveau-né, je vis le jarl pointer de nouveau le bout de son nez. Il était le plus heureux, la plus comblée des personnes que j'ai pu connaître au cours de ma courte vie.
Sous ses compliments et ses larmes de joie, comment lui en vouloir ? Je suis retombée amoureuse sur l'instant. Peut-être aidée par les hormones... Le fait est que je l'ai laissé nommer l'enfant et le présenter à la cour comme son fils. Dans le même instant, il annonçait notre union. J'étais troublée et dubitative, mais emportée par l'effervescence du moment, je me suis offerte à lui.

À partir de ce jour où la cérémonie lia nos âmes, je ne me rendais pas compte que ma vie allait changer du tout au tout.
Ranveig fit transporter mes affaires jusqu'à la halle du jarl. Le regard triste. Même si elle essayait de garder bonne figure, je sentais que cette séparation lui coûtait. À ses yeux, le jarl me volait à sa bonne garde. Ma bienfaitrice, celle que je considère comme ma mère, n'échangea quasiment aucun mot avec moi ce jour-là. J'étais nouée et inquiète...

Accueillie au domaine de mon époux, je me mis à maudire ma sœur d'avoir pris toute la lucidité à notre naissance. Rien qu'à la vue des premiers serviteurs, je compris mon erreur...
Leur regard livide et leur teint pâle rendaient le verdict sans appel : ils sont sous envoûtement; peut-être depuis des mois, des années... se souviendrait-il si je lui posais la question ? En tout cas, je lui fis promettre de ne jamais user de ce pouvoir sur moi, jamais.
Attachée à mon fils et à une fierté mal placée qui m'empêcherait de donner raison à ma jumelle, je cherchai à améliorer mon quotidien dans cette nouvelle vie plutôt que de la fuir. J'ai affronté le jarl à de maintes reprises avant d'obtenir, a minima, que ma suivante ne soit plus envoûtée.
Dans la demeure, je me suis installée en véritable maîtrise de maison, tentant à mon échelle de rendre un peu plus agréable la vie des quelques serviteurs qui y vivaient.

Deux ans après la naissance de notre premier fils, de fortes dissensions naquirent entre le jarl et moi. La cohabitation fut difficile, autant que la vie conjugale. Un plaisir qui devenait un devoir.
Même si cette fois-ci, il resta près de moi, j'entendais mon époux prier Freyr pour que son enfant à venir soit un jötunn. Peu importe fille ou garçon, mais jötunn. « Détesterais-tu tant d'avoir une part de nos enfants qui soient à mon image ? », « Ce qui me déplairait, c'est d'avoir à les renvoyer chez eux. » Et par cela, je compris "les envoyer dans le monde des mortels". Alors de cette joie découla une nouvelle angoisse. Et une nouvelle fois, je ne voulais plus de cet enfant à naître... L'accouchement fut très douloureux, à un tel point que je me souviens supplier mon époux de m'envoûter, que je n'ai pas à revivre cela.
Il hésita, et presque à contre-cœur, s'exécuta. Un voile se déposa sur mes yeux et je me sentie légère. Si légère...
La tâche terminée, je dormis pendant des heures avant de me réveiller et reprendre pied avec la réalité. J'aurais tant préféré ne pas en revenir... Car le jarl m'annonça lui-même le triste sort de l'enfant qui n'eut pas assez de force pour respirer comme il aurait dû. Une fille éteinte avant même que je n'ai pu voir son visage... Une horreur d'un atrocité telle que toute la volonté du monde ne suffit pas à me redonner goût en la vie.

Je me suis isolée, retournée chez Ranveig qui prit soin de moi un an durant. Mon mari poussait à mon retour, mais je m'y refusais. La douleur était encore trop vive... L'avais-je tuée par la lâcheté de demander à ce qu'il m'envoûte ? Ranveig avait beau m'assurer que non, cela ne parvenait pas à me convaincre.
Ma jumelle émit une hypothèse bien pire : et s'il l'avait tuée parce qu'elle était née humaine ? Une horreur encore plus tragique et douloureuse que ça avait été un sujet pendant de longues semaines. La nature de toute mon anxiété face à cette naissance.
Renfermée encore pour plusieurs mois, je mangeais à peine, parlais peu, ne me déplaçais que pour les besoins primaires. Pendant tout ce temps, je ne vis pas mon fils. Et tant mieux. Je ne voulais pas qu'il me voit ans cet état... Loin d'être aussi alarmiste que ma sœur, j'avais confiance aux bons soins de ma suivante et du jarl, quoi qu'il puisse avoir fait d'horrible. À notre fille ou avant dans sa vie.

Finalement, Ranveig me renvoya chez moi. Sans trop en comprendre les raisons, mais il ne fut pas très difficile pour elle de me convaincre qu'il était temps de retrouver ma famille... Encore naïve et malléable.
Je retrouvai mon époux qui, malgré la colère de ma retraite, me fit me sentir bienvenue. La bienvenue chez nous.
Même s'il avait l'éternité pour être père, et qu'il s'estimait déjà heureux de l'être avec Afnar, il sembla comprendre la douleur que ça pouvait être pour une mère.

Le retour à la vie normale fut compliqué, et je dus prendre sur moi les premiers temps. Je me laissai convaincre par mon entourage qu'il fallait reprendre mes anciennes habitudes, continuer à voir du monde, à m'occuper de mon fils et de mon époux.
J'avais la sensation de porter un masque. Souriant et bien sous tout rapport. Hypocrite à souhait... Je n'étais pas heureuse. Même si à chaque période de toute, le jarl parvient à me ramener dans le chemin qu'il décide pour moi, je me sens foncièrement différente.
Au début, je lui en ai parlé. Puis finalement, je me suis mise à porter un masque avec lui également.

Ainsi, notre vie a repris. Je garde la tête haute en société et à la maison. Traumatisée par la perte de ma fille et l'angoisse des théroies que me conte ma jumelle, à chaque soupçon de grossesse, je me suis mise à consulter une völva. Les fois où elle m'a assurée que j'attendais un enfant mortel, j'ai cruellement et froidement trouvé un subterfuge pour mettre fin à la grossesse.
Jusqu'à la naissance des jumeaux. Pour le coup, je n'ai rien vu venir et au moment où je pris conscience de mon état, mon ventre se mit à s'arrondir. Beaucoup trop pour tenter quoi que ce soit. Beaucoup trop pour qu'il ne le remarque pas. Un déni qui, par chance, n'eut aucune répercussion sur les deux garçons. Les jötnar sont résistants, c'est indéniable.
Même si la douleur et les complications ont failli me coûter la vie, j'ai cette fois-ci supplié mon époux de me laisser consciente de tout ce qui se passait. J'ai mis des mois à m'en remettre, épuisée par l'effort et l'allaitement qui s'en suivit. Mais j'ai tenu bon. Eux aussi.

Cette naissance a fait un bien fou à notre famille. M'a redonné le sourire, malgré les doutes et les peurs. Le masque semble se lever, je parviens de nouveau à regarder mon mari avec cet amour qui, dix ans auparavant, avait lié nos destins.
Cela fait trois années que je m'accroche à ce bonheur trouvé, pestant contre ma sœur et ses scénarios catastrophe. On se dispute de plus en plus. Au fur et à mesure, je la trouve paranoïaque et pathétique. Tout comme elle me regarde avec déception et colère devant mon abdication face aux jötnar et leurs décisions.
Peut-être est-elle jalouse ? Après tout, j'ai atteinds mon but : une place à la cour et une famille. On m'acclame de nouveau pour ma voix et mon talent. Alors qu'elle, elle n'a jamais atteind le moindre de ses objectifs de vie, et on la traite toujours comme l'humaine en marge des autres.
Bien que nous nous aimions plus que tout, cela fait cinq ans qu'un orage gronde au-dessus de nos têtes.

Pseudo : Vanka • Âge irl : 30 ans • Multicompte : Inleif
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    - - ils mélangèrent le miel au sang, et ainsi créèrent cet hydromel, qui fait de ceux qui le boivent poète et sage
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Helja Vespaïnen • Une mère à l'héritage corrompu O3f6wU8
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Rôle : "Aux Larmes de Kvasir", son repère, son nid douillet. Il en est le gérant et le garant.
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Un dédoublement fort rapide, mais fort agréable au regard !
Rebienvenue !
Helja Vespaïnen
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Helja Vespaïnen
   
Helja Vespaïnen • Une mère à l'héritage corrompu 6JJ6PQb
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Merci !
Disons que j'ai eu le temps de cogiter à pas mal d'idées Helja Vespaïnen • Une mère à l'héritage corrompu 3467265661
Et au moins ce personnage est un peu plus libre de ses mouvements Helja Vespaïnen • Une mère à l'héritage corrompu 475898814

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    - - ils mélangèrent le miel au sang, et ainsi créèrent cet hydromel, qui fait de ceux qui le boivent poète et sage
Mimir
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Mimir
   
Helja Vespaïnen • Une mère à l'héritage corrompu B4928518e31a3a5f76f0009bb3022997
Âge : Intemporel
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Félicitations !
Ton personnage est validé

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Étapes à suivre

Pour t'assurer que tout est en ordre et intégrer ton personnage, voici les liens à suivre :
  • Bottins : vérifies que tu es recensé dans les sujets qu'il faut ! (avec supplément pour les einherjar : pouvoir + défaut)
  • Profil : remplis correctement les champs qui concernent ton personnage
  • Fiche de lien : créés ta fiche de lien pour que les autres joueurs puissent te faire des demandes et connaître un peu plus ton jeu
  • Publicité : aide la communauté à accueillir de nouveaux joueurs en participant à la publicité et gagne des points à dépenser !

Tu peux garder contact avec la communauté et participer à l'entraide en rejoignant le serveur Discord. Ce n'est pas une obligation, mais c'est toujours un + pour tisser des liens entre joueurs  !

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